Le danseur/Chorégraphe

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Né dans la tradition Bihunda, une danse initiatique dans le Département du Pool (Sud du Congo Brazzaville), il découvre aussi la danse avec le groupe ou danse son père, le groupe Mukonzi Ngoma à Pointe-Noire.


Dans les années 88 - 89, découverte du hip hop avec le break dance, Maxwelllechat développe le mouvement des pas de Michael Jackson jusqu'au Jazz dance. "C'est le Jazz qui a fait de moi un danseur complet avec toutes ses techniques auxquelles je dois aujourd'hui mes performances et mes connaissances des plusieurs danses du monde comme: le bougalo, le funk, la salsa, la rumba, le strombo, la baratinatiam sans oublier les danses traditionnelles africaines, notamment celles du Congo et de l’Angola etc.


L'acrobatie lui a permis aussi de développer l'art de la danse contemporaine. Il a participé à plusieurs concours de danse ou il a raflé des nombreux prix. Maxwelllechat est de l'époque de Soda pop, Turbo 4x4, John One, Général funk, Général Mongol, Abib Osey, Eric Strong, Me Adios dans le ballet, Chaolin avec le groupe Fantastique, Acro marin avec Me Pinky, Me Poaty, Le défunt King, Djo (Georgy Loubelo), Bickeurman, Grand Jacques, Pierre Koudédé etc, des danseurs qui ont fait le bon temps de la danse au Congo.


1998 - Création de danse contemporaine avec le trio Pierre koudédé et chrysogone Diangouaya pour le spectacle Marée haute.


1999- Participation à la création de la Cie Bina-ngoua avec Yvon Serge BISSADISSI, Jean Franco NGOUALA et Bernabé BETI LOEMBA. Il a fait deux créations: Lukulamu (2000), Ndolo (2001) lui a permis de faire plusieurs tournées.


En 2002, il est tour à tour professeur de danse et de musique à l'Académie de danse et de musique à Luanda (Angola), chorégraphe du Ballet national de l'Angola, il enchaine des cours dans des écoles, des stages de danse dans des salles de spectacle. https://static.onlc.eu/maxwelllechatNDD//130676571763.jpgLa même année, il crée sa propre Cie de danse en Angola, la Cie Manésema. La première création s'intitule Ngongo, une coproduction de l'Alliance française.


En 2003, il est contacté pour etre le professeur de danse du Ballet Kilandukilu à Luanda dans lequel, il chorégrpahie le spectacle Fusao. Il est avec Jean-Franco, l'élaborateur du projet " O sida a nossa volta (le sida nous entoure) produit par l'association douleur sans frontière et Total Fina Elf. Toujours avec Jean-Franco NGOUALA, il crée le spectacle "Manésema" qui signifie, le fou n'a jamais été fou, produit par l'Alliance française de l'Angola et invité par le festival Mabina danse  de Brazzaville et le festival folklorique japonais à Kyoto.


En 2004, il est invité comme membre du jury dans un concours de danse Hip-hop organisé par l'association Mouv à Pointe-Noire. A son retour à Luanda, il a été contacté par la Cie de théâtre Horizonte Zinga Mbade comme professeur des arts dramatiques pour enseigner le théatre du corps et en fait aussi la scénographie. Il a travaillé avec le comédien Dom Pedro De COTA et bien d'autres.


En 2004, il est invité comme membre du jury dans un concours de danse Hip-hop organisé par l'association Mouv à Pointe-Noire. A son retour à Luanda, il a été contacté par la Cie de théâtre Horizonte Zinga Mbade comme professeur des arts dramatiques pour enseigner le théâtre du corps et en fait aussi la scénographie. Il a travaillé avec le comédien Dom Pedro De COTA et bien d'autres.


En 2005, il est contacté la Trineale de Luanda (atelier de création artistique) pour chorégraphier et scénographier deux grands acteurs du cinéma angolais: Merinho MENDES et Raul dans la pièce perfomance en collaboration avec le metteur en scène brésilien Luciana Fernande. Il chorégraphie une pièce tirée du livre " Quantas madrugadas tem a noite" porte de José Mena Abrantes, porte parole du Président angolais, José Edouardo Dos Santos en collaboration avec Miriam REIS, productrice de l'organisation Quintos Sol.


Il est contacté par la Société de construction audobres, une société brésilienne de construction, sous couverte de Maianga production pour chorégraphier le succès de la construction de la ville (infrastructure de la ville).


Il lance le projet por uma dança angolana contemporanea (pour une danse contemporaine) qui a donné naissance au spectacle Idendidate perdida (identité perdue), prix de la danse folklorique à Valencia en Espagne (début 2006).


Installé en France depuis aout 2006, Max, poursuit ses activités en danse. Il a participé au festival Afrofigster de l'association Pilipili à Zurich en Suisse. Jury des Battles dans différentes salles à Lyon, il donne des stages de danse avec la Cie Will ship.


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